Un employeur qui, lors d’une réunion avec le personnel se tenant avant l’entretien préalable, fait part de sa décision de licencier l’un des salariés puis le licencie pour faute grave, a procédé à un licenciement verbal dépourvu de cause réelle et sérieuse.
La Cour de Cassation l’a jugé le 23 octobre 2019.
